Mes origines

Le sram :

- Tu peux pas mettre "le sram" alors qu'on va surtout parler de sramette.
-> Si je peux du fait qu'il s'agit d'une généralité.
- * Affute ses dagues * tu veux répéter ?
->

Le sram : La sramette :

Contrairement aux idées reçues, la sramette n'a pas la meme personnalité que son presque équivalent masculin.

-> Je peux citer le nom de l'équivalent masculin pour aller plus vite ?
-

En effet, les sramettes bien que trés gracieuses, sveltes, etc....

- Continue les compliments tu commençais à remonter dans mon estime.
-> Je peux pas se serais trop long.
- Tu es dans le vrai continue d'expliquer donc .

Refusent catégoriquement de perdre ce corps qu'elles chérissent et entretiennent par l'enfantement.

C'est pourquoi mettre une sramette au monde est mal perçu par ses parents et cela est encore pire quand c'est une sramette qui accouche d'une petite sramette.

Bien souvent à la naissance la petite sramette est laissé à elle meme, sans que quiconque ne s'en préoccupe mais cela est pire pour la petite d'une sramette qui est abandonnée à la naissance (souvent sur le lieu de naissance).

Concernant le presque équivalent masculin, sa naissance se fait dans la joie et il reçoit tous les soins, ainsi qu'une éducation dans les ordres srams.

D'où leur arrogance naturelle, leurs quêtes de popularité, de richesse, même s'ils n'ont pas été gatés par la nature.

- Parles de moi maintenant.
-> J'y arrive un peu de patience.

La petite sramette livrée à elle meme au sein d'une famille, qualifiée de sramette d'élevage par ses consoeurs (les sramettes sauvages mais elle préférent le terme Sramettes) recevra un semblant d'éducation basée sur l'observation de ce qui l'entoure.

Pour le peu qu'elle soit née dans une ferme de bouftous ou un élevage de tofus, elle ne pourra au mieux que servir de génitrice car ses capacités ne lui permettront pas d'échapper à la convoitise des presque équivalent masculin (qui dans le cas des sramette d'élevage sont strictement équivalent).

Les Sramettes quand à elles, étant laissées sur le lieu de naissance sont à la merci des animaux sauvages ou des éléments.

Si par chance elles ne sont pas dévorées, elles peuvent être recueillies par des créatures pour combler leur solitude ou parce qu'elles n'ont plus de dents pour déchiqueter.

En vérité, elles gardent prés d'elles le nouveau né afin qu'aucune autre créature n'en profite mais aussi dans l'espoir que des dents repousseront pour en faire un repas.

- *Schlack-schlack* T'apprendras à etre si long ><.
- *Miam un fémur*.

Je dois finir moi-même, pas possible de trouver un bon narrateur ><.

Je suis Shadow-KD, une grande mais discrète Sramette, j'ai eu pour "nourrice" un vieux meulou édenté (heureusement pour moi qu'il était édenté).

Il a d'une certaine manière contribué à mon éducation en m'enseignant ses techniques de chasse assez sommaire, toujours être dans le dos de la victime, contre le vent pour l'odeur, et placer un grand coup dans la tête pour assommer, enfin moi car lui un coup décapitait la victime, son mode de survie en tous lieux et toutes saisons mais aussi son goût prononcé pour le fémur frais.

En effet avant d’être édenté, il se plaisait à déchiqueter tout ce qui passait à sa portée pour parfois ne retirer qu'un fémur (allez comprendre pourquoi sachant qu'il y en a deux voir plus selon les créatures).

Ainsi il pût de nouveau goûter à ce met très délicat qu'est le fémur frais du jour où je pus le pré-macher pour lui donner en bouillie (dès ce jour d'ailleurs il fût particulièrement heureux de ne pas m'avoir manger finalement).

Je garde avec moi un souvenir de ce meulou car mes dagues sont taillées dans sa corne gauche, il se l'était arraché et me l'avait donné sachant sa fin venir.

Je me suis levé un matin et il ne restait de lui que sa fourrure et ses fémurs, je me suis délecté des fémurs et ai confectionné mes vêtements dans sa fourrure.

Ma seule et unique "amie" Sramette elle aussi fût quant à elle élevée par un moon. Le moon ne mâche pas, il écrabouille avec son marteau son repas puis prend une kokopaille pour le boire.

Heureusement pour elle il était trop vieux pour pouvoir soulever son marteau et la pris donc à ses cotés.

Contrairement à moi, elle est très agile mais moins forte, nos "parents" nous ayant transmis leurs techniques diamétralement différentes, le moon agite son marteau avec une agilité déconcertante alors que le meulou joue de sa force incommensurable.

Avant d'intégrer dans l'ombre les villes, j'ai longuement observé les gens qui peuplent Djaul.

Tout d'abord, il m'a fallu du temps pour ne plus considérer les autres comme de la nourriture, j'avais souvent du milicien frais pour repas, la mégapole de bonta étant proche de ma tanière.

J'évitais de chasser au Nord car le corbax et ses pioux noirs étaient dur à attraper comme ils volent, à l'Est non plus dans le cimetière (je mange du fémur frais pas du périmé ><).

J'ai essayé du fémur de craqueleur mais ya vraiment qu'un meulou pour apprécier, donc je me rabattais souvent sur des voyageurs dont les fémurs étaient délicieux.

Ma découverte de ce vaste territoire c'est avant tout, faite par mes besoins de chasser.

Mais un jour alors que je promenais mon odorat aux abords de la cité de bonta, une odeur alléchante m'a incité à voir au-delà des remparts que je ne franchissais jamais.

Cela m'a amené au quartier des boulangers ou le plus illustre des Maitres-Boulanger (appris cela par la suite) préparait un pain à base de fémurs de pioux.

J'avoue que j'ai hésité entre goûter ses fémurs, supposant qu'ils devaient être très bons et son pain, mais je pris un pain alors qu'il s'était absenté.

Le goût de son pain m'avait tant captivé, que je n'ai pas prêté attention à la garnison qui passait par-là pour aller en manœuvre.

Quelques dizaines de miliciens sur le carreau plus tard, c'est par une de mes semblable que je fut maîtrisé, le chef de cette garnison qui avait choisi de rester en retrait pour m'observer mais surtout, elle espérait que je m'affaiblis rapidement et voyant le nombre de ses soldats diminuer très vite, elle était passé furtivement dans mon dos et m'avait asséné un coup sur la tête et je tombais.

Revenue à moi, j'étais pieds et mains liées face au conseil de la milice, ils débattaient sur mon avenir et cela semblait le présager court car mon exécution était sur toutes les lèvres.

Quand la Sramette intervint, il prit une autre tournure, en effet il me fut proposé de rejoindre les rangs de la milice sous 2 conditions :

- Etre assassin sous les ordres directs de cette Sramette

- Ne plus toucher un habitant de ce monde sauf ordre contraire

Le choix était difficile car je ne me serais jamais accommodé de leur nourriture et sans cette sramette sur place j'aurais pu aisément les occire un à un.

Mais soudain, je me souvins et demanda à être disciple du Maitre-Boulanger que j'avais rencontré plus tôt.

Voilà comment je finis par ne manger que les fémurs frais de mes victimes désignés mais aussi les meilleurs pains aux pattes de pioux.

Bon le roman et genial mais tu aurai du le metre dans la taverne car la on va pas recruter ton histoire

Une sramette ecrivain je savait pas que les sram reflechissait XD
(il parle plutot avec leur dague )

en ce cas, peux tu le déplacer et supprimer les 2 derniers posts stp

et bah dis donc c bavard une sramette va falloir que je l'imprime pour mettre sur ma table de nuit, tel ma berceuse ...........houlà se dit que c'est ptete pas une bonne idée de dormir avec ça sous l'oreiller ......... va faire des cauchemars .......... "au secours, des dagues me poursuivent"

tinkiete pas , j'ai arrondi les côté tranchant des dagues a shadow lorsqu'il me les a prété

ouf merci me voilà rassuré heu t sur que tu aurais du l'avouer ça ? car heu......... jsui pas sure que ça plaise à shadow le polissage des dagues........... elle peut etre dangereuse jte couvrirais tkt pas jte dois bien ça

tkt, jsuis un sac a PdV , meme si il les éguisent une fois de plus, au nombre de coup de dague qu'il devra me faire pour me tuer, elle seront arrondi de nouveau

Sujet déplacé.